Michel utilise l’acronyme (JAM) comme identifiant en arts visuels.
Quelques mots de la part de l’artiste :
La vie m’a permis de faire de l’art. Grâce à qui ou à quoi n’est pas quelque chose qui se définit facilement. C’est un concours de circonstances qui se sont mis bout à bout pour m’amener jusqu’à vous tous, vous qui aimer l’art dans toutes ses formes.
L’artiste est autodidacte en tout.
Il réinvente sa vie d’une manière autonome au fur et à mesure que progresse sa façon de voir et de comprendre la vie qu’il observe comme une muse à partir d’une pratique artistique qui est en ce moment identifié par des organismes gouvernementaux qui règlementent les arts visuels pour les riches qui gouvernent dans l’ombre la destinée du Québec.
Parce que les arts visuels sont des fabrications de l’argent, Michel ne veut pas faire partie de ça.
Michel préfère être identifié comme artiste penseur de la pensée artistique indépendante.
Il s’offusque contre les artistes des arts visuels qui se sont mis au service de l’argent qui utilise nos élus comme bouc émissaire pour régenter la pensée artistique en promouvant ceux et celles qui acceptent que l’argent règlemente leur vie d’artiste.
Ils sont devenus dépendant de l’argent.
Leur art est corrompu par l’appât du gain très utilisé dans ce monde déséquilibré.
L’art que développe Michel, va servir aux générations futures, qui, s’ils arrivent à se débarrasser de l’argent comme mode de pensée, vont développer un intérêt pour l’art.