Le projet  L’ART POUR LA PAUVRETÉ

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Le projet de Coop découlant du projet initial sur la pauvreté

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3 oeuvres sur 125 issues de la recherche de JAM sur la pauvreté:

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RÉSUMÉ

Le projet  L’ART POUR LA PAUVRETÉ (ISBN: 9781714427079) évolue vers la création d'une COOP d'artistes francophones. Vous pouvez cliquer sur le lien de l'éditeur BLURB pour acheter le livre.


La Coop des artistes francophones en arts visuels du Québec

CAFAVQ


Le projet l’art pour la pauvreté a été écrit en pensant au problème humain de la pauvreté.
Pourquoi la pauvreté existe en art et dans le peuple Québécois et comment s’en sortir?

Le projet de faire une coopérative unissant tous les artistes francophones en arts visuels sous une bannière unique est le cheminement naturel de la pensée de l'art pour la pauvreté et est une solution valable si tous les artistes acceptent le principe coopératif. S'ils et elles acceptent la pensée coopérative entre producteurs d'oeuvres d'art.
Le concept de Coop imaginé par JAM est un concept d'investissement financier dans le futur culturel Québécois pour sortir de la pauvreté Québécoise. La Coop s'installera comme un projet social provenant d'une initiative artistique.

L’idée du projet consiste à créer une coopérative d'artistes producteurs d'oeuvres d'art et propriétaires de la Coop qui investissent dans leur Coop sous forme de dons d'oeuvres réparties en deux catégories.

Une première catégorie vise la vente des oeuvres produites par les membres et une deuxième catégorie propose l'entreposage des oeuvres dans une banque d'oeuvres comme base d'investissement à grande échelle.
La Coop poursuit trois objectifs.
Le premier objectif est de créer une banque d'oeuvres d'artistes francophones qui sera utilisée ultérieurement comme fond de placement.
Le deuxième objectif est de vendre les oeuvres à un public d'investisseurs collectionneurs d'oeuvres francophones et de diviser en trois parts égales le revenu de ces ventes.
Le troisième objectif est d'offrir une possibilité de réalisation aux artistes qui n'ont pas le soutien financier nécessaire pour se réaliser en art actuellement.

Pour survivre, l'art Québécois doit devenir une force qui contrôle sa production et qui investi dans son avenir.

Seul les membres de cette organisation, soit les artistes francophones en arts visuels du Québec ainsi que les artistes intégrés à la culture francophone, deviendront membre de la coopérative.
Les membres de cette organisation vont agir comme administrateur et administratrices de l’organisme.
 
La Coop sera fondée par 5 artistes fondateurs, fondatrices qui feront la demande de constitution.
Ces 5 individus formeront un comité provisoire qui va rédiger le plan d’affaire et écrire les règles et la charte de la Coop.
Une fois constituée, le comité provisoire formera le premier conseil d'administration qui aura un mandat d'un an.
Après cette période, une élection pourvoira un deuxième conseil qui aura un mandat de trois ans.
Le premier conseil publiera un communiqué visant le grand public requérant par ce comité la participation du plus grand nombre possible d'individus qui deviendront membres de la Coop.
À partir du moment que la Coop aura 100 membres, le conseil fera une première réunion officielle des membres en vue de constituer un conseil d'administration par vote des membres.
Lorsque ce conseil d'administration sera constitué, il mettra en place un comité de vente des oeuvres. Ce comité sera constitué de membres qui géreront la réception des oeuvres des membres sous forme de dons d'oeuvres.
Ce comité fera le tri parmi les dons et constituera une première vente des oeuvres choisies.

Le conseil constituera aussi un comité qui aura comme mandat de rédiger la constitution d'une banque d'oeuvres qui aura sa propre autonomie financière.
Ce comité s'occupera des finances de l'organisme.
Ce comité fera une demande à une banque pour ouvrir un compte commercial au nom de la Coop.

Pour démarrer la Coop, il est important de demander à chaque membre artiste de fournir 10 œuvres sous forme de don d'investissement pour constituer un lot important d’œuvres pour la banque d’œuvres.
L’idéal dans le plan d’affaire sur une prévision de 3 ans, c'est de recruter 100 artistes faisant un don chacun de 10 œuvres d’une valeur de 1,000$ chacune. 

Chaque membre va être sollicité chaque année pour fournir à l’organisme 2 œuvres sous forme de don d'investissement pour la même valeur marchande soit 1,000$ chaque oeuvre. 

Une œuvre ira directement à la banque pour constituer le fond d’investissement. Une deuxième œuvre sera vendue aux collectionneurs pour déterminer la cote de l’œuvre. 

Le revenu de la vente permettra de diviser cet argent en trois parts égales.
  

˚ 1/3 des revenus générés par la vente de l'oeuvre ira à l’artiste.  

˚ 1/3 des revenus générés par la vente de l'oeuvre ira à l’organisme. 

˚ 1/3 des revenus générés par la vente de l'oeuvre ira à une œuvre de charité établie au Québec. 


Idéologie du projet de coopérative

L’erreur multiculturelle

Le Québec s’est laissé envahir par la pensée multiculturelle. C'est tentant pour un individu de faire comme tout le monde. L'individu artiste n'a pas le droit de faire comme tout le monde. Le respect de l'art doit le mener à se dépasser et doit l'amener à inventer, à créer un monde plus évolué.
L’erreur de la pensée multiculturelle c’est de croire qu'elle est une solution sociale. En fait la pensée multiculturelle est une escroquerie au niveau social visant la confusion dans les esprits.
Dans la nature et la nature humaine en fait partie, un individu ne peut pas appartenir à deux formes culturelles en même temps.
Sa vie étant considérée ici comme un espace temps, l'individu est enchainé à sa culture d'origine et les artistes ne peuvent pas y échapper.
L'art a beau être devenu international, ça ne change rien au concept.
Durant sa vie un individu va appartenir à une forme unique de pensée. Il ne peut pas en déroger. Il peut évoluer dans sa forme, mais ne peut pas changer de forme.

Notre art Québécois provient de notre pensée culturelle, de notre vécu ici, de notre attachement à nos proches, de l'amour que nous ressentons pour le Québec. Nous peignons ce que nous sommes.
Notre discours en art est celui du Québec.

Une culture dépend de lieu dans lequel elle s’exprime.
Nous les Québécois d’origine nous vivons dans une culture ouverte aux autres.
Nous sommes accueillants à beaucoup de niveaux.
Nous avons créé une société qui veut échanger avec les autres cultures.
Nous regardons les autres comme un ajout normal à nos connaissances.
Notre foi demeure tant qu'à elle attachée à nos raçines culturelles.
Moi comme artiste je trouve chez les autres artistes ce que je ne suis pas comme artiste. Je les complète et ils me complètent.
Mais ils et elles ne peuvent pas exprimer en art ce que je suis comme artiste.
Ceux qui défendent la pensée multiculturelle font de notre culture Québécoise une sous culture parce qu'ils ne se reconnaissent pas dans notre culture.
C'est pour cette raison qu'ils tentent d'inventer une culture composée de toutes les cultures.
Une soupe commerciale qui n'a aucun sens culturel puisque cette idée est fondée uniquement sur le profit et non sur les sentiments contenus dans une culture qui nous est propre et dont nous découlons.
C’est dans ce sens que je propose de créer la Coop des artistes francophones en arts visuels du Québec (CAFAVQ) pour sauver la culture Québécoise en arts visuels de la montée du multiculturalisme au Québec.

Le don en art dans la Coop deviendra un investissement dans la Coop

Si on regarde et analyse correctement la situation du Québec sur l'échelle mondiale, notre peuple est mal barré. Nous utilisons trop du PIB pour notre culture.
Nous utilisons trop de notre PIB pour notre système de santé.
Nous utilisons trop de notre PIB pour supporter la pauvreté.
Nous utilisons trop de notre PIB comme partage avec les autres provinces du Canada.
Nous devons revoir notre façon de vivre ensemble avec un nouveau concept social. La Coop à travers sa pratique servira d'exemple de fonctionnement pour rédiger une nouvelle pensée sociale axée sur le partage entre les individus.
Les oeuvres seront directement impliquées dans cette expérience.

La nature a pourvu certains individus d’un don qu’on nomme artiste. Ce don pour être efficace doit être développé par l’individu qui le possède en venant au monde. Ce don reçu doit être redonné pour être efficace dans l’évolution humaine.
Le projet propose aux artistes francophones de s'unir dans cette pensée sociale de partage des bénéfices occasionnés par la vente de leurs oeuvres.
Mais aussi comme une structure économique capable de subvenir aux besoins alimentaire des artistes.
Capable de répondre à leurs besoins de structure de travail et leur éducation au niveau de l'entrepreunariat.

Au niveau économique, la pensée de coopération entre les artistes producteurs d'oeuvres d'art est une forme capable de soulager économiquement le gouvernement dans son mandat d'aide à la pauvreté.
En retour l'organisme pourra offrir aux collectionneurs par leur implication directe avec l'achat d'une oeuvre, un amoindrissement d'impôt par leur participation à un  don à un organisme de charité.
En ce moment, les artistes francophones du Québec, travaillent l’un contre l’autre. Cette compétition accentue la pauvreté culturelle en art Québécois.
Cela met en danger la culture francophone.
C’est pour changer cette mentalité du moi égocentrique contre culturelle que le projet d’une coopérative regroupant les artistes francophones en arts visuels est nécessaire.
Les artistes en arts visuels francophones doivent investir dans leur propre survie comme culture par une force coopérative qui va être au service du peuple Québécois pour défendre le droit d’exister comme artiste francophone sans être au service d’une structure culturelle anglophone Nord américaine qui englobe tout dans une pensée capitaliste mondiale.

Le principe du don d'oeuvres comme investissement de la part de l'artiste pour créer un organisme tel que celui suggéré ici est une nouvelle formule d'implication en arts visuels. Les premiers investisseurs dans la coopérative seront les artistes qui veulent devenir membre de la Coop.
La plupart des artistes impliqués dans un cheminement artistique ne connaissent pas cette implication.
Pour l'expliquer il faut comprendre comment fonctionne l'investissement. Lorsqu'on investi dans quelque chose, il faut considérer le temps comme un accessoire de réussite. La Coop selon mon évaluation prendra 10 ans pour assoir son fonctionnement d'investissement en art.

Les individus artistes qui participeront au projet, doivent comprendre qu’une fois à l’intérieur du projet ils ne peuvent pas penser en tant qu’individu. Le projet requiert de la part de chacun qu’il et qu’elle se perçoive comme faisant parti d'une communauté avec tous les autres participants.
Le projet a comme but de construire une protection culturelle au dessus de la culture francophone du Québec.
Chaque participant doit adhérer à ce principe si on veut que le projet s'accomplisse. Ceux et celles qui font des arts visuels un projet de vie en français Québécois, sont confrontés à une dénigration systémique du Québec français provenant des anglophones et des allophones qui désirent évacuer la culture francophone et la remplacer par une culture multiethnique provenant de la pensée Canadienne du multiculturalisme international qui a déjà évacué de plusieurs pays la culture locale et qui veulent aussi faire du Québec mais surtout de Montréal une plaque tournante de la culture des multinationales dans laquelle la pensée Canadienne française d’origine Québécoise n’a pas sa place.

En tant que pensée artistique différente de la pensée multiethnique on n’a pas notre place dans le monde des arts visuels dominé par la pensée capitaliste mondiale. C’est dans l’espoir de sauver ce qui reste de notre culture francophone que j’ai imaginé le projet.

Pour survivre culturellement à cette épidémie anti culturelle mondiale nous devons nous prendre en main économiquement au lieu pour survivre de rejoindre la pensée multiculturelle.
L’art c’est plus qu’une survie individuelle.
L’art c’est l’expression de l’âme commune avant toute autre considération économique.

L’art c’est la survie de la pensée dans un monde affublé d’un moi excessif tourné exclusivement vers le matériel et rien vers le spirituel. Cela perturbe l’évolution de la pensée humaine en faisant des robots sans âme avec les êtres humains qui réfutent leur âme d’être humain au profit de gadgets sans importance pour le futur.

La mission

Initier les artistes francophones du Québec pratiquant les arts visuels à une nouvelle pensée en art. Cette pensée nouvelle est celle du partage avec la pauvreté comme moyen de soutenir la culture francophone du Québec.
Initier le peuple Québécois à soutenir financièrement  les artistes membre de la Coop  qui vendent leurs œuvres en partageant les bénéfices avec la pauvreté. Créer une banque d’œuvre à partir des dons d’œuvres des membres. Cette banque ayant atteint un capital d’œuvres convenable servira à émettre des actions qui s’appuient sur la valeur marchande des œuvres.
Les œuvres demeurent ainsi la propriété de la banque qui est par conséquent une société appartenant à la Coop donc aux membres de la Coop.
L’argent produit par la vente des actions servira à soutenir financièrement les activités artistiques de la Coop.
Trouver dans la population francophone du Québec des investisseurs envers la banque d’œuvres et des collectionneurs d’œuvres provenant des productions des membres artistes de la Coop.
Convaincre, éduquer, partager, accomplir, sont les quatre bases de la fonction de la Coop


Investir son argent en art
 

Investir son argent dans les œuvres construites par les artistes travaillants en arts visuels (Peinture-gravure-sculpture-nouveaux paradigmes etc.) est une manière sécuritaire de diversifier ses investissements.
Les œuvres prennent de la valeur en étant revendu c’est par la vente de ses œuvres qu’un artiste fait monter sa cote sur le marché de l’art.
Cependant un problème émerge de ces transactions.
Les œuvres disparaissent de la culture qui les a créée.

La Coop veut faire différent en créant une banque d’œuvres qui demeureront ici au Québec.
C’est en ce sens que les membres doivent toujours fournir à la Coop 2 œuvres de même qualité.
1 œuvre va à la banque et 1 œuvre est mise en vente par la Coop à son propre réseau d’investisseurs en premier lieu et dans le futur au réseau international.
La Coop attirera les investisseurs parce qu’elle offrira un produit culturel qui a un impact social par son partage des bénéfices des ventes avec les gens vivant dans la pauvreté au Québec.
La part sociale de l’art provenant des artistes en arts visuels qui font don de leurs œuvres sous forme d’investissement dans leur Coop dont ils et elles en sont les propriétaires et partage les bénéfices est une façon culturelle de penser l’art comme faisant partie de la société.

La Coop attirera les investisseurs parce qu’elle offrira un produit culturel qui a un impact social.

Les premiers qui vont investir dans le projet, ce sont les artistes en arts visuels qui veulent devenir membre de la coopérative en faisant un don de 10 œuvres. Cinq (5) œuvres de ce don iront à la banque d’œuvres et cinq (5) seront vendues pour établir la cote de l’artiste.La Coop créera un réseau d’investisseurs Québécois. Les investisseurs qui vont faire partie de ce réseau seront les acheteurs d’œuvres. L’investissement sera VERT parce que la matière première ce sont les œuvres produites par les artistes.
La Coop créera la banque d’œuvres qui sera une partie importante dans l’investissement.
Les œuvres fait en don à la Coop seront à la base de ce fond.
Le plan d’affaire sera établi selon un pronostique de fonctionnement de la coopérative qui s’échelonnera sur une période de trois (3) ans.

Le genre coopératif répond aux besoins financiers des artistes.

En d'autres mots, une coopérative est :

  1. Une association de personnes qui assument collectivement leurs responsabilités d'entrepreneurs

  2. Une entreprise dont les copropriétaires sont les utilisateurs

  3. Une entreprise dont l'objectif consiste à maximiser les divers avantages que les membres en retirent, à la fois comme entrepreneurs, utilisateurs et citoyens

  4. Une entreprise qui utilise le capital sans en faire la mesure du pouvoir des membres

  5. Une entreprise dont les règles garantissent aux membres l'égalité dans l'exercice du pouvoir et l'équité dans la répartition des contributions et le partage des résultats

  6. Une entreprise qui favorise l'inter-coopération pour développer ses affaires et contribuer au développement de son milieu

  7. Une entreprise qui fait de l'éducation un de ses mécanismes de fonctionnement essentiels, notamment par le partage de la connaissance et de l'information.

Pour apporter une stabilité économique au projet, il faut établir des règles de fonctionnement qui plaisent aux artistes ainsi qu’aux investisseurs. 
Le projet consiste en premier lieu à fournir aux artistes membres une logistique leur permettant de faire de l'art sans contrainte financière d'aucune sorte. L'argent recueilli par la vente des oeuvres doit assurer un soutien financier à tous les membres pratiquant les arts visuels dans la catégorie artistique de leur choix dans une vision de transparence économique des projets proposés.  

Le projet de la Coop spécifie très clairement dans son statut d'entreprise cette particularité des besoins financiers des artistes membres de l’organisme responsable du projet établissant que la production d'œuvres, la vente d’œuvres et la distribution des œuvres est des points essentiels.

Il est aussi clairement statué dans la charte de l'organisme que 1/3 des profits générés par la vente des oeuvres ira directement aux organismes de charité installés au Québec.

CETTE PARTICULARITÉ DU PROJET EST CE QUI VA FAIRE LA DIFFÉRENCE ENTRE UNE STRUCTURE INSTITUTIONNELLE RÉGULIÈRE QUI FONCTIONNE EN ART AVEC DES SUBVENTIONS ET LA COOP D'ARTISTES QUI EST UN ORGANISME INDÉPENDANT PRATIQUANT LA CHARITÉ PAR L'ART.

Il est aussi statué dans la charte de l'organisme que 1/3 des profits générés par la vente des oeuvres ira à l'organisme et que cet argent servira à la promotion des arts visuels des membres sous différentes formes d'interventions publiques qui serviront à promouvoir auprès des investisseurs l'art des membres.

Il est aussi spécifié dans les statuts de l'organisme que seul les artistes de souche francophone et les immigrants qui acceptent de bonne foi d’intégrer volontairement la pensée francophone Québécoise et d’en défendre sa structure de pensée en participant à son évolution par l’art pourront devenir membre de l'organisme.
Plusieurs autres conventions feront partie des statuts de l'organisme et seront issus d'une concertation entre les membres de l'organisme afin d'établir un organisme correspondant aux attentes de ses membres.  

 

OBJECTIF du projet par étapes successives

Former un comité provisoire avec au minimum 5 artistes.
L’objectif de ce comité sera de rédiger les règles de fonctionnement de la Coop, élaborer un plan d’affaire couvrant une période de 3 ans, faire une demande de constitution sous forme de Coopérative d’artistes francophones Québécois travaillant en arts visuels.
Le conseil d'administration nouvellement en place peut commencer les opérations selon le plan d'affaires.
Il signe les premières ententes, embauche le personnel, rédige les premières politiques, ouvre un compte bancaire commercial au nom de l’organisme, etc.
Faire un suivi.
Recruter de nouveaux membres.
Recueillir les œuvres sous forme de dons, faire un premier encan, faire du porte à porte pour trouver des acheteurs d’œuvres.
Construire un document papier et web des œuvres à vendre, etc.

VOUS VOULEZ VOUS IMPLIQUER COMME ARTISTE TRAVAILLANT EN ARTS VISUELS DONATEUR D'OEUVRE ET BÉNÉVOLE PARTICIPANT À LA CONSTITUTION DE LA COOPÉRATIVE D'ARTISTES FRANCOPHONES?


CONTACTER JAM PAR EMAIL : mailto:michel@jam.quebec


RECONNAISSACES ENVERS LE PROJET

 

De: <helene.pappathomas@raav.org>
Objet: RAAV: Votre activité
Date: 1 juin 2020 à 15:35:39 UTC−4
À: <michelboisvert16@gmail.com>
Cc: Bernard Guérin <bernard.guerin@raav.org>

Bonjour monsieur Boisvert,
 
Nous mettrons en ligne sur le site internet du RAAV, le lien vers les titres de vos publications dans nos activités des membres.
Je vous félicite chaleureusement pour la lettre de reconnaissance de votre travail par notre Premier ministre François Legault. Cette lettre vous servira sûrement dans le développement à court terme de vos projets.
 
Portez-vous bien,


raav

 


 

Lettre d'encouragement du premier ministre envers le projet

premier ministre

 

Armand Vaillancourt, artiste. Je suis de tout coeur avec toi sur ce projet.

Johanne Tardif. Merci. C’est un projet intéressant. Bonne chance. Je suivrai votre évolution. Bonne fin de journée

 

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